Les moulins du diable

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Avec la CAAP, nous avons avons eu la possibilité de réaliser un projet pour l’exposer dans le hall de la salle Jacques Brel, le théâtre de Fontenay-sous-Bois, le temps d’une représentation. Nous devions choisir un spectacle parmi la programmation de la saison. Nous étions un groupe de huit étudiantes à avoir travaillé autour du spectacle Les moulins du diable. C’est un spectacle de danse de la compagnie Massala chorégraphié par Fouad Boussouf. À travers la danse, il y a tout un questionnement sur le temps et notamment l’accélération du temps liée au rythme de vie moderne. J’ai donc décidé de faire un assez grand mobile avec cette idée. Je me suis inspirée du livre Aliénation et Accélération d’Hartmut Rosa que j’avais lu dans le cadre du concours des Arts Déco l’an dernier et qui m’avait beaucoup intéressé. J’ai dessiné des personnages qui occupent leur temps avec différentes actions. J’ai travaillé à partir de photos de banque d’image car les actions y sont représentées de manière complétement cliché : on y voit des gens qui font du sport en souriant, bouteille d’eau à la main et air triomphant, des hommes d’affaire qui se serrent la main avec des sourires presque inquiétants, etc. L’idée c’est qu’aujourd’hui notre rapport au temps à changé. On est pris dans une sorte de machine infernale. On a tous tendance à avoir un emploi du temps trop chargé, à devoir reporter des choses et on ne conçoit pas de ne rien faire. Celui qui ne fait rien est un paresseux. On est obligé d’occuper tout notre temps et on culpabilise de ne rien faire. C’est avec cette idée là que j’ai réalisé ce mobile, où tous ces individus sont pris par le mouvement de cette machine temporelle. Au moindre passage d’un spectateur, le mobile se met à tourner car il est  composé de papier calque, fil nylon et fil de fer, des matériaux très légers.

Ici un lien vers l’article du site de la CAAP montrant les différents projets exposés lors de la représentation !

Les oiseaux

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Depuis toujours j’adore l’idée d’écrire des histoires, de créer des bandes dessinées. Ça part toujours d’une super idée, et je commençe avec plein d’énergie. Et puis je m’applique beaucoup pour les deux premières cases et après ça finit toujours inachevé dans un tiroirs. Jusqu’ici, je n’avais jamais réussi à terminer aucune histoire ou bd. Et puis j’ai crée ces oiseaux dans mon carnet à dessin : je leur ai donné des caractéristiques physiques et des personnalités différentiables et j’ai eu très envie de leur créer une petite bd. Mais ce qui m’avait toujours bloqué jusqu’ici, je crois, ce sont les dialogues pour lesquels je ne suis pas très douée. Alors j’ai choisi de faire une série de courtes bd muettes, mettant mes petits oiseaux en scène. Comme il fallait faire tamponner nos travaux pour le bac et que je n’étais pas trop en avance, je n’ai pas eu le temps d’en créer beaucoup. J’ai donc décidé de me concentrer sur la naissance de mes oiseaux avec l’idée de poursuivre leurs aventures plus tard car je les aime bien, mes petits oiseaux.

Florence à Florence

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Cette année j’ai achevée ma dernière année au lycée où je suivais la spécialité arts plastiques avec une option histoire des arts. Dans le cadre de mes options j’ai pu réaliser trois super voyages en Italie. En seconde à Rome, en première à Venise et en terminale à Florence. Ces trois voyages étaient très enrichissants. Venise est le voyage qui m’a le plus marqué, mais c’est pour une grande part car j’avais toujours rêvé d’y alle. J’avais réalisé des petits carnets de voyage en seconde et première mais rien de sensationnel. Cette année, du 9 au 14 mars nous sommes partis à Florence, c’était mon dernier voyage et je me suis dis que j’allais m’investir un peu plus dans la réalisation de ces carnets.  Surtout que si je le réussissais bien, je pouvais le présenter au bac et qu’en plus, nos professeurs organisaient un concours de carnet (que j’ai eu la chance de gagner). Comme nous avions deux semaines pour le réaliser, j’ai tout donné pour finir à temps (en me couchant parfois à 4h du matin, haha). J’ai voulu créer un carnet un peu interactif, beaucoup de photos peuvent être soulevées et j’ai fait une sorte de poupée en carton me représentant dans mes tenues de chaque jour qu’on peut balader dans le carnet. Je voulais vraiment que ce soit plaisant à regarder et que ça me rappelle le voyage dans ses moindres détails (vu ma mauvaise mémoire). Voilà donc des photos de l’intégralité de mon carnet !

Maison de Voyage

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Durant les vacances scolaire de Toussaint, j’ai eu l’occasion de participer à un stage organisé par la fondation Culture et Diversité. Nous avons participé à plusieurs activités : un atelier d’écriture, un atelier photo, des cours d’histoire des arts, mais aussi un workshop. Le thème de ce workshop était le voyage.

J’ai créé une maison qu’on peut emporter avec soi où qu’on aille. J’aurais voulu la réaliser dans une valise mais je n’avais à ma disposition que cette boîte en carton, trouvée chez moi. Cette version est donc un projet dans le sens où ce n’est qu’une étape dans la réalisation de ma maison.
Le concept, c’est celui d’une maison que nous transportons toute la journée lorsqu’on voyage et qu’on peut déplier lorsque le soir vient pour y dormir. Elle comporte un lit qui se déroule, un rideau qui permet de se couvrir mais aussi des rangements pour conserver des souvenirs.
Comme le voyage devient quotidien, je trouvais important que les souvenirs ne soient pas forcément des objets sensationnels mais plutôt des évocations, des souvenirs affectifs. On peut attacher plus de valeur à un objet anodin qui nous évoque un souvenir qu’à un objet précieux qui n’a pour nous aucune histoire.

Cette maison est construite avec des matériaux de recyclage, peu résistants. Elle serait rapidement détruite par les intempéries. Si je peux imaginer d’apporter de nouveaux éléments de confort avec un tapis de sol et un auvent étanches par exemple, je ne souhaiterais pas pour autant qu’elle soit d’une solidité à toute épreuve.
Je pense qu’un des autres caractères importants du voyage, c’est l’idée de renouvellement. La construction d’une maison éphémère permet d’imaginer que, sans cesse, la maison sera reconstruite. L’individu dont la maison sera endommagée pourra récupérer ses souvenirs et des éléments de sa maison passée afin d’en reconstruire une nouvelle.

Ce projet de maison de voyage est plutôt un concept qu’un prototype : l’idée est que chacun puisse réaliser sa propre maison, unique, correspondant à ses besoins et adaptable à son voyage.

Parking Party

J’avais acheté un pot de grosses craies et j’avais envie de les utiliser pour un projet de street art. J’ai donc eu l’idée de réaliser une sorte d’installation-performance dans un parking voisin. C’est un lieu de passage qui sert de raccourci pour accéder à la maternelle, à l’école primaire, à la mairie et au marché. Des enfants y font parfois du vélo ou du roller, des jeunes squattent souvent sur un banc juste à coté mais c’est un endroit qui m’a toujours semblé un peu lugubre. Pour cette raison, j’ai eu envie d’en décorer le sol de motifs gais et ludiques, avec des éléments visuels qui créent des parcours dans ce décor.

Comme la surface est importante, j’aurais difficilement pu travailler seule. J’ai donc sollicité mes amies Roxane et Émeline pour m’aider à faire les dessins à la craie et à documenter la réalisation de ce projet. J’ai également accepté l’aide de Luce et Léonard, des enfants que je connais qui habitent juste en face du parking. J’avais une idée assez précise de la composition générale de mon projet aussi j’ai décidé de leur laisser tout un espace libre au sein de cette composition où ils ont pu réaliser ce qu’ils voulaient. Plus j’apprends à collaborer avec les autres sur mes projets, plus j’arrive à accepter les compromis comme un enrichissement de mon travail.
Nous avons travaillé toute la journée. Nous étions tous très concentrés mais il y avait néanmoins une ambiance joyeuse et festive. Nous nous sommes bien amusés en jouant avec notre interminable marelle. De temps à autres, des gens qui passaient par le parking nous adressaient la parole et s’enthousiasmaient du projet.

Nous avons pris de nombreuses photos et vidéos tout au long de la réalisation. Pour les prises de vues, nous nous sommes notamment amusés avec un cadre que nous avons trouvé et qui permettait de produire un effet intéressant avec ce décor que nous avions crée, un peu comme si nous étions de l’autre coté du miroir, dans un univers parallèle à celui de ce parking d’ordinaire triste et froid.
J’ai réalisée deux  versions du making of : une longue et une courte. J’ai sonorisé les deux films avec des musiques de jeux vidéos pour évoquer les aventures virtuelles que l’on peut vivre, notamment par le jeu lorsqu’on est un enfant, en stimulant son imaginaire avec ce genre de décors.
Celui-ci a tenu au moins deux semaines, s’atténuant au fur et à mesure qu’il pleuvait. Puis il a fini par s’effacer complètement. J’envisage de faire une nouvelle Parking Party où je convierais un plus grand nombre de gens pour créer un évènement encore plus créatif et festif.

Mon amie Émeline a une page Facebook où elle poste toutes ses super photos ! Passez voir son travail ici.

Jeu de Voyage

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Voici le premier projet de cette année 2014-2015. Au début de l’année j’ai eu l’appendicite, c’est toujours sympathique. Après avoir donc été malade toute la fin du mois d’août (que j’ai passé devant Heidi que je regarde pour la millième fois), je me suis fait opérer, début septembre. Un truc un peu bizarre, mon appendicite s’était soignée seule (oui, c’est possible) mais il fallait enlever son cadavre. C’est ainsi que je suis rentrée en cours une semaine après la rentrée. Et rater la rentrée ça craint ! Mais bon tout c’est bien passé.
C’est donc une semaine après tout le monde que j’ai apprit le nouveau sujet de notre projet qui portait sur le voyage. Il fallait créer un objet plat qui peut se déployer dans l’espace.
J’ai longuement réfléchi. Ma première idée était de créer un « kit » de voyage pliable dépliable (avec tout ce qu’il faut pour voyager confortablement). Mais très vite je me suis penchée vers autre chose : le jeu de société. Toujours dans l’idée de voyage, j’ai réalisé un jeu pliable et dépliable, que l’on peut donc très facilement ranger dans son petit étui.
Ce jeu que j’ai intitulé « jeu de voyage » fonctionne à peu près comme un jeu de l’oie. Je dis à peu près, car avant de chercher les règles, je pensais que le principe du jeu de l’oie était juste d’avancer sur un plateau de jeu et de vouloir arriver à la case « arrivée », avec de temps en temps une case malus ou bonus. Mais pas du tout, le jeu de l’oie est un jeu über complexe avec un nombre de case très précis et des règles tout aussi précises. Mon jeu est donc bien plus simple : il y a un plateau de vingt cases, un dé et quatre pions. Toutes les cases du plateau sont reliées par de la laine de manière à plier le jeu facilement. J’ai inséré des cases bonus et malus qui sont les rouges avec un point d’interrogation. Lorsqu’un joueur tombe sur cette case, il la retourne, tire à nouveau le dé et retourne à la case qui correspond au chiffre obtenu. Derrière chaque chiffre se trouve le bonus ou malus.
Ce jeu est créé pour être transportable le plus facilement possible. Les cases sont seulement reliées par de la laine, ce qui permet d’adapter facilement le plateau en fonction de l’espace disponible. Le jeu est aussi facile à ranger dans sa petite pochette qui prend peu de place. Pour ça, j’ai créé des pions qui se montent facilement ainsi qu’un dé. Le dé a été le plus compliqué à réaliser. C’est très facile de créer un dé en papier quand on colle les rebords entre eux. Mais ici il fallait arriver à créer un dé pliable et dépliable sans colle. Au début j’avais cherché des patrons sur internet, en vain. J’avais même fini par essayer de faire un dé en origami (grand échec par ailleurs). Mais en réfléchissant un peu, j’ai trouvé comment réaliser mon dé !

Pour les photo j’ai voulu jouer sur l’aspect niais et surjoué des boîtes de jeux de société. Voici donc quelques photos avec ma cousine Blanche ! Le jeu a d’ailleurs été testé et approuvé !

À bientôt pour de nouveaux articles !

 

A la recherche du temps perdu

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Ça fait longtemps que je ne suis pas venue poster sur mon blog et c’est mal, très mal. Je vais essayer de me rattraper, surtout que j’ai des tas de choses à mettre (mon anniversaire de l’an dernier, celui de cette année et deux autres projets).

Mais parlons de ce projet-ci. Le titre « À la recherche du temps perdu » fait référence à la série de Marcel Proust intitulée ainsi, particulièrement à un passage du premier livre (Du côté de chez Swann), le célèbre passage de la madeleine de Proust que vous pouvez lire ici. Le principe de la madeleine de Proust c’est donc une image, un son, une odeur, une texture, un goût, n’importe quelle sensation qui, dès qu’elle est ressentie nous rappelle quelque chose du passé. Tout le monde a sa propre madeleine de Proust. J’en ai moi même quelques-unes. Chaque année, avec mes grands-parents, frère, sœur, cousins, oncle et tante nous allons dans le même VVF (village vacances familial). Il me semble que je m’y rend depuis mes 3 ou 4 ans. Petits, avec mes cousins, mon frère et ma sœur et des copains, nous adorions faire des cabanes dans « le bois »… Avec le temps je réalise que ce n’est pas un bois mais plutôt quinze arbre répartis sur 50 mètres. Comme nous y allons toujours aux vacances d’hiver il y fait froid et humide. Du coup quand on soulève nos grosses caillasses en les empilant et en déclarant que c’est une cabane, on se salit les mains. J’ai donc toujours mis des gants, mes petits gants gris foncés qui ne me vont plus. Il y a quelques années, j’ai senti ces gants par hasard et cette odeur de terre humide un peu acide m’a tout de suite fait bizarre. J’avais l’impression d’y être. De même quand je sens du vent frais mais léger sur mes pieds, je pense aux matinées au VVF quand j’allais ouvrir la grande porte-fenêtre.
Mais venons-en au projet. J’ai voulu matérialiser l’idée de souvenir. J’ai donc créé une boîte pour montrer l’intérieur de mon cerveau (manifestement, mon cerveau est assez emberlificoté) et représenter des sensations liées au souvenir. Toute ma boîte est blanche (avec des variations du blanc au crème) et avec des ajouts de papier réfléchissant ou de plastique transparent. Je voulais rester dans une certaine sobriété. On retrouve des yeux en plastique qui matérialisent la vue, une boule à neige avec une danseuse de boîte à musique, pour le son (c’est un peu approximatif et on ne reconnait pas forcément bien la danseuse), puis différents matériaux de toutes sortes, pour le toucher, mais aussi pour représenter la diversité des sensations. Pour ce qui est de l’odeur, c’est plus conceptuel : j’ai tenu à tout coller avec de la colle qui sentait très fort si bien que pendant toute la réalisation du projet, je reniflais les fleurs que ma sœur m’avait ramenée de sa ballade pour essayer d’atténuer l’odeur de la colle.
Sur l’extérieur de la boîte, j’ai mis divers papiers froissés (feuille de papier, mouchoirs, papier de cuisson et divers) pour matérialiser le flou d’un nuage de fumée, comme lorsqu’un magicien fait disparaitre une boite.
À l’intérieur de ma boîte, en plus des divers éléments rappelant les sensations, j’ai entremêlé des fils, ficelles et rubans. Ça représente le fil de la conscience qui n’est jamais tout droit. Je voulais rappeler le fait que les souvenirs n’apparaissent jamais nettement, ni dans le bon ordre. À ces fils, j’ai collés plusieurs éléments dessinés sur du papier calque. La plupart illustrent mes propres souvenirs, mais j’en ai aussi inventés certains car parfois, ce que nous croyons être nos propres souvenirs ne sont pas les notre. Nous créons ou recréons une partie de nos souvenirs. Parfois même on se souvient parfaitement d’événements qu’on n’a pas vécu , comme le mariage de mes parents où j’ai l’impression d’avoir été parce que je l’ai vu en photo et qu’on m’en a parlé, alors que j’étais loin d’être née à l’époque.

Voilà tout pour cette fois !

Le portrait

Voilà un tout petit post pour présenter quelques exercices picturaux.
Notre professeur nous avait donné comme consigne de choisir un portait, que nous allions devoir refaire avec différentes techniques. J’ai choisi de prendre une photo de George Chakiris dans West Side Story. Notre premier portrait nous devions le réaliser avec la technique pointilliste (le mien fait assez psychédélique), le second en s’inspirant du fauvisme.
Bon, bilan des courses : je ne suis pas douée pour la peinture. Mais je ne fais pas de censure sur mon blog alors je poste même si ce petit exercice n’est pas vraiment réussi !

Salutations !

Univers parallèle

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Cette fois ci, le sujet était de créer un univers parallèle. Nous devions choisir un lieu du lycée et y installer notre univers pendant une semaine sans que ça laisse de trace.

J’ai crée un monde peuplé de monstres et créatures de toutes sortes, exprimant de nombreux sentiments, mais tous dans un état d’esprit relativement joyeux pour amener un peu de fantaisie dans le lycée.

Si j’ai choisi cet emplacement, c’est essentiellement car le carrelage change à cet endroit là qui se situe au bout d’un couloir et qui mène vers une autre partie de l’établissement, comme si en passant les portes on arrivait dans un autre univers. Il est en face des toilettes où j’ai également placé quelques créatures.

Pour créer tous ces personnages, j’ai découpé leurs formes dans du carton et je les ai peint dans une gamme de couleurs pétillantes. J’ai réalisé les mélanges de couleur avec de la peinture murale blanche et des colorants. Certaines créatures ont été laissées en carton brut. Même si j’avoue que la moitié de mon temps de travail consistait à me prendre en photos en faisant des poses débiles avec le déclencheur…

Pour les installer, j’avais choisi à la base un système consistant à scotcher les monstres à l’aide d’adhésif double face, lui-même fixé sur du scotch de peintre afin de ne pas abîmer les murs. Mais il s’est avéré que tous mes monstres pesaient bien trop lourd pour que le scotch de peintre tienne et je les ai finalement tous fixés avec du scotch double face sur le mur en pierre qui ne craignait rien.

Après une semaine, nous avons du les décrocher. C’est avec amusement que me suis rendu compte que beaucoup étaient partis, sauf les plus gros bien entendu. Le fait d’ailleurs que mes créatures (enfin, mes « loulous » comme je les désigne) aient disparu ou même le fait qu’ils aient été déplacés ne me gêne pas. J’étais partie de l’idée que tous pourraient disparaître, et le fait même qu’ils aient bougés me fait plaisir (il en reste par exemple un qui a été collé sur la porte de notre salle d’arts plastiques et qui va rester pour le moment). Comme si avec le temps, ils se déplaçaient d’eux même, ça leur apporte « une vie » d’un certaine manière.

Agrandissement d’objet

Bon voilà, je suis entrée en seconde art plastique de mon lycée. J’avais pleins de projets pour ne pas délaisser mon blog étant donné que j’étais partie 6 semaines en Croatie mais je n’ai rien achevé de tout ce que j’avais commencé (j’ai honte…) ! Donc voilà mon premier projet, il s’agissait d’agrandir un objet. Mais je l’ai fait trop petit. La deuxième photo n’a rien à voir avec mon projet mais elle me plaisait bien !