L’Orphée

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En 4ème je participais à une classe à PAC (projet artistique et culturelle). Cette année là était basée sur l’architecture et le mythe d’Orphée et Eurydice. Toute l’année nous avons travaillé avec acharnement sur ce mythe. Nous avons étudié différent textes, opéras, films, peintures traitant de ce sujet, si bien qu’à la fin de l’année nous étions tous des spécialistes de la question… haha. Nous avons aussi réalisé des musiques inspirées de ce mythe. Je me souviens très bien que dans mon groupe nous avions chanté une chansons sur Orphée dans les enfers, reprenant pour le refrain un air de générique de Naruto (je n’étais pas au courant à l’époque). Lors de la représentation finale au théâtre, nous avions recréé la scène d’Orphée traversant le Styx après avoir charmé Charon. Comme nous n’avions pas de lyre, nous avions utilisé un vieux ukulélé. Notre mise en scène était cocasse et me fait encore rire aujourd’hui. Toutes les musiques réalisées par ma classe étaient compilées sur un cd. Chacun a pu réaliser une jaquette de cd. Voici donc la mienne (recto-verso). On désigne souvent ce mythe comme le mythe d’Oprhée, mais dans l’opéra de Monteverdi c’est « l’Orfeo ». J’avais voulu écrire l’Orfeo et alors que j’écrivais soigneusement chaque lettre, je me suis rendu compte que j’avais écris un ‘p’ au lieu du ‘f’. Je me suis donc résignée à devoir écrire « l’Orphée ». J’ai voulu représenter les passages qui me semblaient les plus importants : Orphée jouant de la lyre et la disparition d’Eurydice dans le couloir des enfers parce que Orphée s’est retourné.

Le portrait chinois


Pour ce portrait chinois il fallait représenter ce qu’on serait si on était : un symbole, un vêtement/accessoire, un monument et un personnage connu.
J’ai choisi le symbole de la paix qui m’a d’ailleurs donné l’idée de tout faire délimité par des mains car en faisant des recherches sur internet, je suis tombée sur une image de ce symbole fait de cette manière. On peut voir dans la galerie d’image les photos des positions des mains et ma première tentative qui était ratée dans la réalisation. Après avoir tout refait j’ai eu 20 !

Vue du ciel

Si pour ce projet j’ai fait un cirque, c’est simplement que durant l’heure d’art plastique, pour trouver une idée de projet, je dessinais des petits élements vus du ciel. A un moment, j’ai dessiné un tigre vu de haut et je l’ai trouvé si mignon que j’ai absolument voulu l’intégrer à mon projet.

Couverture pour « Pauline » de Dumas

Pour ce projet de français, il fallait créer la couverture de Pauline,  l’œuvre d’Alexandre Dumas que nous avions étudié en classe. Il fallait ensuite expliquer ses choix pour chaque élément de la couverture.
J’ai d’abord choisi de prendre plusieurs scènes, celles qui étaient les plus importantes pour moi. En première de couverture, j’ai mis en scène :
– Alfred de Nerval qui raconte son histoire à Alexandre Dumas,
– Pauline effondrée dans son cachot (avec Alfred de Nerval en train de la secourir, mais ça pourrait aussi être la scène où Horace la jette dans le cachot),
– par la fenêtre du cachot, Horace de Beuzeval tuant une jeune femme,
– le bateau naufragé d’Alfred de Nerval.
Sur le dos de couverture j’ai mis en scènes :
– la tombe de Pauline (ou on peut imaginer que ce soit la tombe de la jeune fille du début, celle dont Alfred de Nerval vient voir l’enterrement, et se rend compte que ce n’est pas Pauline),
– la tempête.
J’ai choisi ces scènes car elle me plaisaient et qu’elle recouvrent une grande partie des choses qui se passent dans le livre. Celle qui prend le plus de place est la scène où Alfred de Nerval secourt Pauline car c’est ce qui m’a le plus marqué. En montrant Alfred de Nerval qui parle à Alexandre Dumas, je voulais montrer qu’il y avait plusieurs niveaux de narration dans ce roman.